Règlement d'arbitrage des assauts et duels sans arme pour compétition CQKD

Bonjour les sportifs,
dans le cadre de vos préparations aux différentes compétitions sportives. vous trouvez dans cet article un extrait des principales règles d'arbitrage des assauts et duels sans arme pour compétition C.Q.K.D..

Tout d'abord, intéressons nous aux gestes et termes employés par les arbitres :

1. Les gestes de l'arbitre central:

CHUAN BI: Préparez-vous

NGHIEM: Prêt

NGHIEM LE: Préparez-vous à saluer

LE: Saluer

THU: En garde

DAU: Début du combat

NUA DIEM: un demi point

MOT DIEM: Un point

HAI DIEM: Deux points

PHAT: Avertissement (retrait d'un point)

LOAI: Disqualification (retrait de deux points)

DONG THE: Attaques confuses ou simultanées  

XINH DIEM: Décisions des juges de coin (après totalisation des points)

2. Les gestes des juges de coin:

Position des drapeaux pendant le combat

Attaques simultanées, le juge ne donne aucun point

Le juge était masqué, la décision appartient à l'autre juge et l'arbitre centrale

Avantage (point) ceinture rouge

Attaque bien identifiée, mais bloquée ou trop courte

Avertissement ou disqualification ceinture rouge

Retour au centre

Demande de réunion 

Décision: Egalité

Décision: victoire ceinture rouge

3. Le lexique des termes de l'arbitrage:

Se préparer: Chuân-Bi

Prêt: Nghiêm

Prêt pour le salut: Nghiêm-Lê

Saluer: Lê

En garde: Thu

Commencer: Ðâu

Arrêter, stop: Thôi

Retourner au centre: Vê-Cho

Continuer: Tiêp

Avertissement: Phât

Disqualification: Loai

Demi-point: Nua Ðiêm

Un point: Môt Ðiêm

Deux points: Hai Ðiêm

Décision: Xin Ðiêm

Arrêt du chronomètre: Canh

Attaques confuses: Ðông Thê

Une fois l'arbitrage connue, il est important de connaitre le déroulement des assauts et duels:

Article 6.1 du règlement  d'arbitrage:

Le combat démarre au moment où l'arbitre donne aux combattants l'ordre de commencer le combat en prononçant le commandement Ðâu et se termine au moment du Thôi prononcé par l’arbitre central lorsque le signal sonore (gong) de la fin du temps réglementaire se fait entendre.

Cependant, le temps perdu à l'occasion d'une blessure d'un combattant ou à l'occasion d'une discussion entre les juges ou de toute autre cause signalée par l'arbitre central en prononçant le mot Canh est décompté du temps d'assaut.

Article 6.2 :

A chaque fois que l'arbitre central prononce le mot Canh le chronométreur arrête le chronomètre. Dès qu'il prononce le mot Ðâu, il déclenche à nouveau le chronomètre.

Article 6.3 :

A chaque annonce du mot Thôi les combattants doivent impérativement cesser toute action. Ils resteront sur place pour attendre le jugement de l'arbitre central. Les combattants ne pourront reprendre leur combat qu'à partir du moment où l'arbitre central prononcera le commandement Ðâu.

Article 6.4 :

En cas d’attaque délibérément lancée après le « Thoi » le pratiquant subit un avertissement « Phat » noté « A » entraînant la perte d’1 point. En cas de comportement jugé antisportif par l’équipe d’arbitre (non respect du « Thoi » dans le but d’agresser son adversaire alors qu’il relâche sa garde, agression ou provocation verbale, attaque après le « Thoi » alors que le pratiquant a déjà reçu un «Phat »,….), le pratiquant subit alors une disqualification « Loai » avec perte de 2 points.

Article 6.5 :

Dans le cas de rencontres triangulaires, la victoire est attribuée au pratiquant ayant comptabilisée le plus grand nombre de victoires. En cas d’égalité, le plus grand nombre de points marqués, en cas de nouvelle égalité, le plus grand nombre de points encaissés.

Les cas particuliers:

Article 7.1 : Le retour au centre

Au cours d'un assaut, l'arbitre peut demander aux combattants de revenir au centre de l'aire de combat en prononçant le commandement Vê Cho. Cela se produit dans les cas suivants:

- Un des combattants sort des limites de l'aire de combat

- Un des combattants se fait disqualifier

- Fin du combat

- Blessure d'un des combattants

- Réunion des arbitres

- Abandon d'un des combattants

Article 7.2 : Coups portés en dehors de l'aire de combat

Les attaques portées en dehors de la surface de combat sont sans valeur. Cependant, si le combattant qui porte une attaque se trouve à l'intérieur de l'aire de combat au moment où il porte la technique, elle sera considérée comme valable à condition que l'arbitre central n'ait pas arrêté le combat auparavant.

Article 7.3 : Coups portés au moment du signal d'arrêt du combat

Quand une attaque effective est portée au moment précis où l'arbitre arrête le combat en prononçant le commandement Thôi, elle devra être comptabilisée.

De même, quand une attaque effective est portée au moment précis où le signal sonore marque la fin du combat, elle devra être comptabilisée.

En revanche, toute attaque portée après le commandement de l'arbitre pour faire cesser le combat ne devra pas être comptabilisée.

Article 7.4 : Réalisations d'attaques consécutives ou simultanées

Dans le cas où un combattant réalise plusieurs attaques consécutives ou simultanées effectives avant le Thôi de l'arbitre, c'est la technique la plus notée qui est prise en considération.

Article 7.5 : Attaques simultanées des deux combattants

Dans le cas où les deux adversaires portent une attaque effective simultanément, aucune technique n'est comptabilisée.

Article 7.6 : Blessure d'un des combattants

Dès qu'un combattant est blessé, l'arbitre central doit automatiquement faire appel au médecin présent pour examiner la blessure et donner un avis.

Dans le cas d'un assaut individuel, si un combattant ne peut continuer le combat pour cause de blessure, son adversaire sera jugé vainqueur s'il n'est pas disqualifié pour coup violent. Par contre, si l'un des combattants est disqualifié pour coup violent et que son adversaire ne peut continuer le combat à la suite de la blessure provoquée par le coup, les deux combattants sont éliminés de la compétition.

Compétition par équipe : en cas de blessure d’un des pratiquants (hormis le capitaine) avant le combat, l’équipe n’ayant pas de remplaçant : le pratiquant déclare forfait, son équipe perd 2 points et peut poursuivre la compétition. L’équipe adverse choisit lequel de ses 3 pratiquants ne combattra pas faute d’adversaire (hormis le capitaine).

Article 7.7 : Abandon non motivé par une blessure

L'abandon pour d'autres raisons que celle de la blessure attestée par le médecin ou le responsable de l'équipe de soins fera perdre l'assaut au pratiquant qui abandonne.

Article 7.8 : Perte de connaissance à la suite d'un coup à la tête

En cas de perte de connaissance dûment constatée par le médecin présent, un combattant ne pourra plus participer à un assaut duel avec ou sans arme avant un délai de 90 jours plus attestation d'un médecin certifiant que le pratiquant peut reprendre la compétition.

Article 7.9 : Egalité des combattants à la fin de l'assaut

En cas d'égalité, les combattants ou les capitaines d'équipe effectuent une prolongation de 30 secondes.

S'il y a encore égalité à l'issue de la prolongation, les deux combattants ou les deux capitaines d'équipe refont une prolongation « au point décisif » constaté par au moins 2 membres de l’équipe d’arbitrage du plateau concerné.

Dans certains cas particuliers et exceptionnellement, le responsable de l'arbitrage pourra passer directement à l'épreuve technique sans passer par la prolongation combat.

Les arbitres déterminent le Thao Quyên commun par rapport au moins gradé qui sera exécuté par les combattants (combats individuels) ou les capitaines d'équipe (combats par équipes).

Les sanctions:

Article 8.1 :

Le directeur de l'arbitrage de la compétition concernée propose des sanctions qui doivent être ratifiées par le Conseil de Discipline (cf règlement intérieur).

Le directeur de l'arbitrage pourra être saisi par l'arbitre central après consultation des juges de coin, pour les motifs suivants :

- cas graves de protestation individuelle ou collective,

- refus caractérisé de combattre, attitude anti-sportive ou violence délibérée,

- non respect envers les arbitres, le responsable de l'arbitrage de la compétition.

Les combattants, les dirigeants et les instructeurs pourront être sanctionnés.

Les sanctions pourront aller selon la gravité jusqu'à la suspension ou la radiation à vie.

Les sanctions pourront être assorties d'une amende imputable au Club.

Le directeur de l’arbitrage de la compétition est habilité à disqualifier le ou les pratiquants concernés pour toute la suite de la compétition, il pourra saisir leurs passeports à la table officielle et les transmettre à la commission nationale d’arbitrage en attendant un éventuel passage devant le conseil de discipline.

Intéressons nous maintenant aux critères d'attribution des points 

Article 3.1 :

Les techniques de pieds et de poings sont autorisées au visage avec contrôle. La zone comprise entre les yeux, le nez et la bouche est strictement interdite à la touche.

Article 3.2 : Obtention de deux points

Quand un combattant effectue une projection au cours de laquelle il parvient à décoller les deux pieds de son adversaire et qu'il enchaîne par une attaque au sol effective, il obtient deux points.

Quand un combattant effectue un ciseau effectif suivi d'une attaque, il obtient deux points.

Article 3.3: Obtention d'un point

Quand un combattant effectue une attaque de pied de façon effective sur une partie autorisée du corps dans les conditions suivantes, il marque un point :

- Belle attitude,

- Bonne technique,

- Touche effective,

- Cri souhaité mais non indispensable.

Quand un combattant réalise une clef à son adversaire et l'amène au sol pendant quatre secondes, il marque un point.

Quand un combattant balaie son adversaire et enchaîne avec une attaque contrôlée, il obtient un point.

Article 3.4 : Obtention d'un demi point

Quand un combattant porte une attaque de poing sur une partie autorisée du corps dans les conditions suivantes, il marque un demi-point :

- Belle attitude

- Bonne technique

- Touche effective

- Cri souhaité mais non indispensable

Quand un combattant réussit une technique de balayage correcte, de projection ou de ciseau effectif non suivie par une attaque, il obtient un demi-point.

Quand un combattant réalise une technique de pied dans une partie autorisée mais de façon peu convaincante.

A partir de la troisième sortie d'un combattant (fuite ou recul) signalée par l'arbitre central au cours du même combat, il sera attribué un demi-point à l'adversaire.

Les interdictions et sanctions

Article 4.1 : Actes prohibés

Saisir l'adversaire sans agir dans les trois secondes.

Article 4.2 : Actes prohibés sanctionnés par un avertissement (PHAT), moins un point.

L'avertissement entraîne le retrait d'un point au pratiquant ou à l'équipe sanctionné.

- Attaques sur les parties du corps non autorisées : (tibias, genoux, cuisses, région lombaire, nuque, colonne vertébrale, gorge, menton) sans blessure,

- Heurter ou pousser l'adversaire avec la main ouverte sur le visage,

- Frapper sur la tête avec le sabre de main,

- Effectuer des attaques dangereuses,

- Crier sans raison, faire des gestes inutiles visant à faire perdre son sang froid à son adversaire ou à atteindre la limite du temps réglementaire,

- Parler à ses partenaires ou à son adversaire,

- Demander des explications à l'arbitre sur ses décisions,

- Faire semblant d'être blessé en vue de faire disqualifier son adversaire,

- Recevoir des conseils ou des encouragements d'une personne située autour de l'aire de combat,

- Perdre son esprit combatif, se plier sur soi-même ou présenter le dos,

- Le ou les combattants qui retarderont le déroulement de la rencontre en ne se présentant pas sur l'aire de combat au 2ème appel ou n'ayant pas l'équipement complet (coquille, ceinture, gant...) auront un avertissement.

Article 4.3 :

Le deuxième avertissement entraîne obligatoirement la disqualification du combattant.

Si c'est une compétition en individuel, le pratiquant sanctionné perd son combat et son adversaire est déclaré vainqueur. Si c'est une compétition par équipe, le pratiquant sanctionné fait perdre à l’équipe au total deux points : premier avertissement (-1 point) + deuxième avertissement (-1 point) = - 2 points et disqualification.

Article 4.4 : Actes prohibés sanctionnés par une disqualification (LOAI) moins deux

points

La disqualification entraîne la perte du combat par le pratiquant sanctionné ou le retrait de deux points à l'équipe sanctionnée.

- Attaque de poing violente au nez, aux yeux, à la bouche ou dans la gorge,

- Blessure à la tête ou au cou, attestée par le service médical présent,

- En cas de perte de connaissance importante entraînant l'arrêt du combat demandé par le service médical présent,

- Frapper de haut en bas ou circulairement avec le talon,

- Frapper à la tête sans contrôle,

- Donner des coups de tête, de coudes ou de genoux,

- Toutes les attaques aux parties génitales,

- Toute attitude antisportive, insulte, provocation, protestation ou contestation des décisions ou des ordres de l'arbitre entraîne une disqualification,

- Le ou les pratiquants qui ne se seront pas présentés sur l'aire de combat après le

troisième appel.

Cas particuliers des compétitions par équipe

Article 5.1 :

Chaque équipe devra spécifier l'identité exacte du capitaine et du remplaçant éventuel lors de l'inscription à la table centrale.

Le capitaine portera un brassard jaune au bras gauche.

Le capitaine fera toujours le dernier combat et les différentes prolongations en cas d’égalité entre les deux équipes à l’issue du temps réglementaire.

Il existe deux types de prolongations : La prolongation «combat » et la prolongation «technique » (exécution d’un Quyen commun au deux capitaines et désigné par les arbitres).

La prolongation «combat » est de trente secondes pour les enfants et d’une minute à partir de la catégorie «gradés ».

Principe de la prolongation : En cas d’égalité de points à l’issue des combats, il est prévu de faire une prolongation «combat». Si à l’issue de cette prolongation il y a encore égalité de points il sera procédé à une nouvelle prolongation «combat au point décisif ».

Remarque : Si les arbitres estiment que les combats sont de mauvaise qualité ou dangereux ils pourront imposer l’épreuve «technique » à la place des prolongations «combats ».

Article 5.2 :

Si un capitaine d'équipe est blessé au cours d'un combat et qu'il ne peut plus combattre à nouveau, les membres de l'équipe devront désigner un nouveau capitaine pour l'ensemble de la rencontre, s'il existe un remplaçant officiel.

Article 5.3 :

Si un combattant d'une équipe est blessé au cours d'un combat et qu'il ne peut poursuivre, le combat est arrêté et le remplaçant de l'équipe ne pourra intervenir qu'au tour suivant.

Article 5.4 :

Dès qu'un combattant est blessé, l'arbitre central doit automatiquement faire appel au médecin présent pour examiner la blessure et donner un avis.

Si un combattant qui souffre d'une blessure légère mais insuffisante pour l'excuser, refuse de continuer à combattre et demande la permission de se retirer du combat son équipe perd un point.

Si la blessure justifie l'arrêt du combat, l'équipe ne perd aucun point. Seul l'arbitre central est habilité à prendre cette décision après consultation du médecin fédéral ou du responsable de l'équipe de soins.

Article 5.5 :

L'abandon pour d'autres raisons que celle de la blessure attestée par le médecin ou le responsable de l'équipe de soins fera perdre deux points à l'équipe.

Article 5.6 :

Un combattant disqualifié ne pourra pas reprendre sa place au sein de l'équipe en cas de prolongation.

Le responsable de l'arbitrage pourra selon le cas disqualifier le combattant ou l'équipe

pour toute la compétition.

Article 5.7 :

Au cours d'une compétition, une équipe peut utiliser son remplaçant et opérer un changement de combattant autant de fois qu'elle le souhaite. Cependant, ce remplacement ne peut s'opérer qu'entre deux tours.

Cette règle ne s'applique pas au capitaine d'équipe qui ne peut être remplacé qu'en cas de blessure.

Enfin, les conditions d’accès à la compétition:

Article 1.1 : Les catégories

Les catégories, sont définies en début de saison sportive. Elles prennent en compte l’année de naissance et le grade.

Article 1.2 :

Tout participant à une compétition sportive doit être muni :

- de 2 licences fédérales dont celle de la saison en cours et être 1er Cap minimum,

- du passeport sportif dûment rempli,

- d'un certificat médical du médecin ou du tampon du médecin sur le passeport

attestant de l'aptitude du pratiquant à la compétition pour la saison en cours,

- pour les mineurs, d'une autorisation parentale de participer à la compétition.

Article 1.3 : Protections obligatoires

- Une coquille sous le pantalon pour fille et Garçon,

- Gants réglementaires

- Un brassard de couleur jaune (pour le capitaine lors des compétitions par équipes).

- Protèges dessus de pieds (rattachés ou non à des protèges tibias sans renforts)

- Plastron ou protège seins pour les combats féminins

- Protège dents obligatoire

Article 1.4 : Protections facultatives

- Les protèges tibias sans renfort sont autorisés

L'organisation de la compétition:

Article 2.1 :

Le déroulement de la compétition se fait par tirage au sort et élimination directe.

Dans certains cas cependant, une qualification par poule peut être organisée.

Le mode de tirage au sort doit éviter dans la mesure du possible que des pratiquants d’un même club (pour les compétitions régionales) ou d’une même région (pour les compétitions nationales tombent les uns contre les autres au premier tour.

Chaque combat dure normalement deux minutes effectives, sauf pour les combats C.N où ils durent trois minutes effectives.

En cas de nombre trop important de pratiquants inscrits à la compétition, le responsable de l’arbitrage de la manifestation pourra exceptionnellement diminuer la durée des combats à 1mn30 pour les gradés et à 2mn pour les ceintures noires

Article 2.2 : Compétitions en individuel et par équipe

Les compétitions régionales et nationales officielles d'assauts duels sans arme sont divisées en assauts individuels et en assauts par équipe.

Les équipes peuvent être constituées de deux à cinq pratiquants selon la nature de la compétition et la catégorie d'âge ou de ceinture.

Article 2.3 : Catégories d'âge

Les catégories, sont définies en début de saison sportive. Elles prennent en compte l’année de naissance et le grade.

Tout combattant peut être surclassé dans la catégorie d'âge supérieure dans la mesure où il est en possession :

- d'une autorisation médicale appropriée,

- d'une autorisation parentale,

- d'une autorisation de l'enseignant responsable

Les Vétérans peuvent combattre dans la catégorie Séniors s'ils le souhaitent.

Article 2.4 : Catégorie de ceintures

Dans la catégorie Séniors, il existe deux catégories de ceintures :

- La catégorie Gradés (Võ Nhân) : de 1er câp à 4ème câp,

- La catégorie Ceintures Noires (Võ Si) : à partir de la ceinture noire
Dans le cas de la compétition par équipe en catégorie ceinture noire, si un club ne parvient pas à aligner une équipe complète de ceintures noires, il a la possibilité de compléter l'équipe par des 4ème câp. Cependant, le nombre de 4ème câp doit être inférieur ou égal au nombre de ceintures noires.


Extrait du règlement d'arbitrage C.Q.K.D. édition 2013
CQKD BUXEROLLES